... ou comment presser les pigeons ... euh, clients un peu nostalgiques.
Tapez "Dora" ou "Oui oui", vous remarquerez que les prix restent raisonnables. En gros, ils appâtent 2 mois avant Noël avec des jouets pour enfants à prix classiques, et ils allument derrière quand Papa voudra se faire aussi un petit plaisir et passer une commande groupée.
Et après, on va se plaindre que la crise fait baisser la consommation
Qu'il soit fait par un ouvrier "basique" à Taiwan, ou par un grand designer avec les matériaux les plus nobles, peint à la main et tout et tout, pour moi,
RIEN ne justifie de payer un Playmobil de 24 cm 95 euros ... si ce n'est le goût de prendre ses clients pour des abrutis finis.
Jouéclub veut certainement aussi se démarquer de l'image "Jouet bon marché, pas cher et pas solide" qui leur colle peut-être à la peau (même si je ne connais rien au marché du jouet et à la perception des différentes enseignes). Ils mettent ainsi dans leurs vitrines des "produits d'image" ... en gros, un truc haut de gamme, hors de prix. Ils savent qu'ils en vendront très peu, voire pas du tout mais c'est bon pour leur image de vendre du jouet-caviar, et ça permet de pousser le client vers la gamme intermédiaire plutôt que vers les 1ers prix.