Effectivement, là est la différence entre la pub et le marketing : la publicité est là pour faire acheter un produit, mais avant tout pour le faire aimer ! Car si on n'aime pas, on achète pas ! D'où ce permanent rapport de séduction, de "Je t'aime Moi non plus", entre les marques et les consommateurs, façonnée par la Publicité ... et voilà pourquoi malgré son caractère répétitif et enquiquineur, la publicité reste souhaitée et aimée des consommateurs, qui s'y reconnaissent souvent et ont des souvenirs très personnels liés aux pubs.
Alors que le Marketing, sans méchanceté vis-à-vis des personnes qui gagnent leur croute avec, c'est le plus souvent : courbes de ventes et retour sur investissements. D'où ces méthodes et ces jargons de plus en plus développés pour pousser le con...sommateur au plus loin dans ses retranchements, et le pousser coute que coute à l'Achat sacré, pour le faire posséder, ou jouir d'une chose ou d'un service ... dont il n'a bien souvent même pas besoin (ce que faisait aussi les vieilles pubs, je vous l'accorde, mais de manière moins vicieuse
)!Je ne travaille plus dans la Communication depuis 3 ans (je ne désespère pas, ça peut revenir
), et je ne suis donc plus au fait des dernières tendances marketing (eh non, je ne suis même plus abonné à CB News ou Stratégies, la hoooonte ! ), mais ça m'a toujours autant fasciné qu'écoeuré ces moyens détournés de faire consommer à tout prix, ces "manigances" comme vous dites.Promis, on sera vigilant !!!
Sinon, merci aussi pour ton commentaire Seb1 (ça me rappelle le slogan de Seb, tiens !
).Oui, il y a eu un magazine "Culture Pub", qui a eu une espérance de vie assez courte au tout début des années 2000 ... mais on ne sait pas trop pourquoi il s'est arrêté. Certaines sources parlent de chiffres de vente décevants, d'autres que les ventes étaient tout à fait honorables mais les annonceurs ne se bousculaient pas pour y figurer ... (on peut les comprendre : payer une page de pub d'un côté pour se faire décrypter quelques pages plus loin, ça peut rendre certains investisseurs frileux.
).En l'absence de sources concordantes, j'ai donc préféré ne pas aborder ce sujet.
Au banquet de l'amitié, chacun peut trouver sa pitance ... Mais au festin des loups, il n'y a pas de dessert ... 
J'aimerais beaucoup me les procurer pour les garder.
), et cette connivence, cet humour, cette complicité qui la liait avec Christian Blachas et qui donnait ce ton si spécial à l'émission. Ton qui pour moi a contribué on ne peut plus à son succès car cela relayait bien le concept.
)
