Le 17 janvier 1933, naquit au Caire, en Egypte, Lolanda (francisé plus tard Yolanda) Gigliotti, dite Dalida en nom de scène. C'est son frère cadet Bruno, (qui en 1966 prendra le pseudo d'Orlando, le prénom du frère ainé) qui prendra donc sa carrière en main.
Elle a en chainé les titres comme : Bambino qui servira à la pub des plats "Bolino" dans les années 80, Come Prima, Itsi bitsi petit bikini , Besame Mucho , Salma Ya Salama , Laissez moi danser, Gigi l'amoroso, J'attendrai, Helwa Ya Baladi (idéal pour la danse orientale !
), Il venait d'avoir 18 ans, laissez moi danser, mourir sur scène et bien bien d'autres encore.Mais sous ses costumes pailletés, Dalida cachait un profond malaise. Celui ci remonte à 1967, lorsque qu'elle était avec son premier compagnon, le chanteur et compositeur Italien Luigi Tenco. Il représentait sa chanson " Ciao Amore ciao" au festival de San Remo, malheuresement, le jury ne retiendra pas son titre et celui ci protestera en se suicidant dans sa chambre d'hôtel. C'est Dalida qui découvrira le corps. Elle tombera alors en dépression.
En février 1970, Lucien Morisse qui l'a découvert et a été son compagnon de 1956 à 1961 se suicide dans son appartement à Paris en se tirant une balle dans la tempe.
C'est au tour de de Richard Chanfray, le 18 juillet 1983, son compagnon de 1972 à 1981 de se suicider.
Cette pauvre Dalida n'aura jamais vraiment connu l'amour et le bonheur. Pour moi elle aura eu une vie similaire à celle d'Edith Piaf et celle de Marylin Monroe. Trop de pression pour le showbiz et pas assez de temps pour elle.
Elle tombe alors dans une profonde dépression nerveuse et finit par se suicider dans sa maison d'Orchamp dans le quartier de Montmartre à Paris la nuit du 2 au 3 mai 1987.
22 ans après sa mort, je continue à apprécier ses chansons, sa voix, la personnalité joyeuse et raffinée qu'elle dégageait de part des chansons et ses shows avec des robes toute plus belles les unes que les autres.
J'avais eu ma dose ! 
Mais maintenant, ça va : je supporte ! 
C'est terrible un destin pareil 
"Là où les potes vont, Les potes iront..." Arthur Fonzarelli
) pour le site, je sais que çà représente du boulot ... 