Comme il faut bien se faire violence de temps en temps, je me suis lancé.
Le film date 1986 et reprend le concept de certains de ses prédécesseurs beaucoup plus illustres.
Indiana Jones, Philadelphia Experiment l'expérience étant même citée, Nimitz retour vers l'enfer et bien d'autres plus ou moins connus.
Vu le nombre d'absurdité, je vais faire un condensé des pires.
Le film commence un peu comme un reportage que l'on peut voir à la fin de chaque épisode des mystérieuses cités d'or sauf là le commentaire du narrateur (la voix de doublage d'Oscar Goldman) ressemble plus à une dictée.
On s'attend presque à entendre point à la ligne à chaque fin de phrases.
Le personnage principal est caricaturé au possible. On retrouve bien le style des films de mercenaires à deux balles. Mec respecté parce qu'il a sauvé quelqu'un d'une situation impossible. Et sans égratignure s'il vous plait. Bruit des pas plus fort que ceux des autres, regard fixe mais vide, humour gras, etc.
L'acteur jouant assez mal, ça se voit à l'écran.
Hormis ça les premières minutes se laissent voir. On se prend même au jeu malgré des incohérences flagrantes.
Mais sans raison apparente le film devint incohérent, Ce n'est qu'une succession de scènes durant de 30 secondes à deux minutes.
À un moment le héros portant une tenue de plongée qui ne devait pas exister à l'époque ou se situe le film (1945), est attaqué par un requin. Sur l'image suivante il est sur l'aile d'un avion.
On ne sait pas comment il a échappé au requin et encore moins comment il est monté sur l'avion.
C'est sans doute réservé à la version director's cut. Vu les scènes manquantes on doit en avoir pour son pognon.
Sans compter que les scènes de combat ont du être tournées dans le noir pour économiser sur les cascadeurs.
Autre détail énervant, la version DVD a été faite à l'arrache puisque l'image saute comme avec une vieille VHS.
Bon cela dit je me suis bien marré en décortiquant ce film.
Voilà un résumé assez brouillon du film mais pour indiquer toutes les conneries que j'ai vu il me faudrait deux jours.
Au banquet de l'amitié, chacun peut trouver sa pitance ... Mais au festin des loups, il n'y a pas de dessert ... 
