1-
La directrice : Et bien je vous remercie de l’attention que vous avez tous ou presque tous, bien voulu m’accorder et ...
Frédéric : Bonjour, je suis Frédéric Gamme. J’suis un p’tit peu en retard.
Bonnet : Un peu ?! Presque 1h. Surtout ne vous excusez pas.
Frédéric : Non non, craignez rien.
2-
Mme Taulier : Vous allez aussi calculer la pression qui s’exerce sur les parois du bathyscaphe à 150m de profondeur. Silence ! C’est très facile, ne faites pas semblant d’être plus nuls que vous ne l’êtes. Y’a qu’à appliquer le principe d’Archimède.
Elève : Archimède. Qu’est ce qui nous prouve qu’il a existé, Archimède ?
Mme Taulier : Alors moi, les meneurs et les p’tits malins, j’leur pête la gueule, dès le début d’l’année. Comme ça c’est tout de suite réglé.
Elève : N’empêche que Archimède, on ne sait pas si ...
Mme Taulier [Lui mettant un coup de poing] : De la part d’Archimède.
3-
Frédéric : Vous avez remarqué que le mot « milité » est très proche du mot « limité »
Josyane : Heu, c’est pour moi que tu dis ça, là ?
Gérard [en se marrant] : Limité ! Milité !
Josyane : Oui toi quand on parle de « limité » tu as intérêt à être discret, hein !
4-
Gérard [gêné car il vient de blesser la prof]: Oh ben c’est rien, ça se verra plus dans trois mois…c’est juste des, des.. petites coupures..
La Prof [s’enfuyant]: Ne m’approchez pas ! espèce de brute ! sauvage ! un vrai sauvage ! une bête!... voilà ce que vous êtes, une bête !!
Gérard : Une bête moi ?
L’infirmière : Mais non..elle a dit ça parce qu’elle était en colère.. [Elle s’approche de Gérard puis l’enlace] Et puis, tu sais qu’il y a des femmes qui aiment les bêtes..
Gérard [s’énervant, il lui arrache sa blouse et part] : Mais, je suis pas une bête !!!
5-
Michel : Qu’est ce que vous faites vous exactement ?
Elève : Je sais pas.
Michel : Vous attendez peut être que je vous l’dise ? Faire le con en espérant que celui qui regarde sera intelligent c’est bon quand on est célèbre, pour vous c’est encore trop tôt.
6-
Josyane : Voici une note de service qui ne vous permet plus de jouer ici
Francis : Ben où veux-tu qu’on aille ?
Josyane : Vous avez la salle des profs
Michel : Ben enfin la salle des profs elle est sordide !
Josyane : Faudra vous y faire !
Frédéric : Bon et ba puisque on veut plus de nous on s’en va hein ...
Gérard : Nan nan nan nan attends, on finit l’coup là ...
Ils sentent qu'il a forcément un bon jeu dans les mains
Michel : Je passe.
Francis : Je passe.
Frédéric : Je passe.
Gérard : Bon ba t’es contente hein ! T’es contente !
7-
Mme Taulier : Le bac où on plongeait le cylindre faisait combien de profondeur ?
Elève : 3 mètres 50.
Mme Taulier : Et à quelle profondeur tu m’as mis qu’il s’enfonçait ?
Elève : 73 mètres 40.
Mme Taulier : Donc tu t’es foutu d’moi, p’tit con.
8-
Professeur d’histoire : Il connaît deux dates : Marignan 1515 et la Révolution Française. En mai 68. Entre les deux y’a rien. Et c’est pas grave.
Bonnet : Oh ... qu’est ce qu’on peux faire pour celui là …Qu’est ce que je met aux parents ?
René : Oh pour celui là plus rien à faire. Vous avez qu’à dire aux parents d’en faire un autre.
Bonnet [En rigolant] : C’est bon ça ... c’est bon ...
9-
Gérard : La salope ! La salope ! Tout ce que j’ai accepté ! Les expos, les musées, le ciné, le théâtre ... Arrabal ! Deux pièces d’Arrabal ! J’ai commencé Proust ! J’ai même fini un roman de Sollers ! Putain, 582 pages de Sollers ! J’ai fait tout ça pour elle ... La salope ! La salope !
10-
Les élèves, la directrice et l’inspecteur d’académie attendent Gérard pour le cours de piscine
La directrice : Je ne comprends pas ce qui se passe Monsieur l’inspecteur, c’est bien la première fois qu’il est en retard à la piscine, d’habitude (Gérard arrive) …ahhh !!
Tous sont interloqués en découvrant Gérard rasé d’un coté. Puis Gérard ôte son peignoir et se met nu
Gérard : Aujourd’hui, on plonge !
bien frappé le prof 
)
Toutes ses scènes sont marrantes ,à chaque fois qu'il passe à la télé ,je le regarde ,obligé ,meme si on connait la plupart des dialogues ,on en rigole quand meme . Alors ,voila la scène qui me fait le plus rire ,c'est quand G.Montagné vient boire un café à la machine et que P.Bruel appuie sur une espèce de poire ,et qu'il y a du vin rouge qui rentre dans son café ,et à chaque fois ,il reprend son gobelet et vas y que j'ty remai une pièce ,il doit en boire 3 ou 4 et il titube ,et qu'il passe la main aux fesses de la prof mignonette 
. Il me semble que là ,le proviseur dit encore un de plus ,cela devient une hécatombe 
et qu'il dit ,'mais moi on m'auras pas' . Et la deuxième scène qui m'a fait marrer ,c'est justement le proviseur et la conseillère d'orientation sur le lit et qu'il est en caleçif 
Il se nomme "Programme télé", dans Vie Actuelle 
C'était inimaginable une équipe de profs pareille, mais c'est bien 80's ce concept et il faut avouer que toute une génération d'enseignants (dont faisait partie ma mère) était très, très proche de ses élèves, en réactions à l'école pré-1968 ... Parfois ça a pu être très proche de ce qui est décrit dans ce film je pense.
